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French

le gouvernement du guyana a déclaré que certains enseignants et autres acteurs éducatifs méprisaient les jeunes sexuellement actifs au lieu de les aider à se protéger du vih.

Russian

Правительство Гайаны отметило, что некоторые учителя и другие работники системы просвещения вместо того, чтобы разъяснять сексуально активным молодым людям способы защиты от ВИЧ, относятся к ним с презрением, считая такое поведение недопустимым.

Last Update: 2017-01-04
Usage Frequency: 1
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French

avant que ta méchanceté soit mise à nu, lorsque tu as reçu les outrages des filles de la syrie et de tous ses alentours, des filles des philistins, qui te méprisaient de tous côtés!

Russian

доколе еще не открыто было нечестие твое, как во время посрамления от дочерей Сирии и всех окружавших ее, от дочерей Филистимы, смотревших на тебяс презрением со всех сторон.

Last Update: 2012-05-05
Usage Frequency: 1
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French

aujourd'hui, le mot incarne la vision d'assassinats et de charniers et les efforts sinistres des nazis pour effacer de la surface de la terre un peuple qu'ils méprisaient.

Russian

Сегодня это слово олицетворяет собой убийства, массовые захоронения и кощунственное стремление нацистов искоренить презираемые ими народы.

Last Update: 2017-01-04
Usage Frequency: 1
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French

pour éditer le quotidien, m. durand réunit autour d'elle une équipe de femmes extraordinaires, parmi lesquelles se trouvaient clémence royer, philosophe et femmes de sciences, traductrice de l'œuvre de darwin en français et la première femme à donner un cours en sorbonne ; séverine (caroline rémy) qui avait déjà à l'époque atteint une réputation nationale de journaliste ; daniel lesueur (jeanne loiseau), dramaturge et romancière, une des premières femmes à recevoir la légion d'honneur ; jeanne chauvin, avocate et une des toutes premières femmes inscrites au barreau de paris ; blanche galien, la première pharmacienne en france ; et melle klumke, la première femme astronome admise à l'observatoire de paris. la fronde avait son siège dans les locaux nouvellement aménagés du 14 de la rue saint-georges, où des femmes en uniforme vert clair fraîchement amidonné composaient les textes destinés à l'impression du journal dans une atmosphère élégante aux murs gris-bleu. marguerite durand insistait pour que ses typographes soient payées au même tarif que leurs équivalents masculins ; il fallait aussi qu'elle observe la législation du travail qui interdisait aux femmes de travailler la nuit. « un style mâle » au cours des semaines précédant la première édition, la fronde devint le sujet de conversation, tant en france qu'à l'étranger. les journalistes parisiens se demandaient avec ostentation comment un groupe de femmes, laissées à leur propre initiative, pouvaient bien éditer un journal. le titre la fronde, par exemple, provoquait toutes sortes de rapprochements mélodramatiques. il mettait le journal en rapport avec l'esprit frondeur du journalisme qui trouve ses origines dans le soulèvement contre mazarin au dix-septième siècle et revendique le droit des groupes marginaux à participer aux débats sur les questions sérieuses. il est évident que m. durand en s'appuyant sur l'histoire donnait plus de poids à son exigence d'expression des femmes. mais du point de vue de ses collègues masculins de la presse, ce titre « belliqueux » n'était que le signe précurseur que « les plus décidées amazones du féminisme militant », avec « leur allure plutôt déplaisante de révoltées », étaient prêtes à se soulever. georges duval surnomma la fronde « david en jupons » et emile goudeau se désespéra pour le goliath masculin qui, « frappé au front par les projectiles que lance la fronde, mord la poussière sur la plaine du repentir ». « le goliath masculin va-t-il recevoir au front la pierre de quelque david du féminisme? », demandait un journaliste alors que la première parution arrivait enfin dans les kiosques de paris. oui et non. en fait, au commencement de la publication du journal, le lecteur masculin se sentait plus perplexe qu'assailli. selon un article du temps paru deux semaines après les débuts de la fronde, la critique unanime était qu'« il ne semble pas que la fronde ait une doctrine parfaitement définie », et qu'elle manquait d'une « physionomie propre » : un jour, un article exigeait les droits politiques pour les femmes, le lendemain un second article déclarait qu'ils étaient inutiles. on avait espéré que le nouveau quotidien allait apporter au journalisme « les qualités spécialement féminines » qui donnaient aux lettres de madame de sévigné tant de charme, et aurait pu ainsi diriger la culture française vers « une renaissance de l'esprit léger et de la grâce délicate ». mais, « si l'on n'était pas averti, si l'on ne faisait point attention aux signatures, on pourrait croire que ces longs et consciencieux articles, très informés et souvent fort instructifs, ont été écrits par des savants austères ou par des paisibles professeurs ». il est certain que les journalistes avaient de bonnes raisons quand ils remarquaient que la fronde avait le style de tout autre journal donnant les comptes rendus de la politique, les cours de la bourse et les résultats des courses. dans ce sens, affirmaient-ils, le journal était « rédigé dans une forme virile ». pour le journaliste maurice le blond, le ton belliqueux du journal donnait le démenti au fait que « vous subissez encore à ce point notre domination que vous ne pouvez vous dispenser d'emprunter notre allure et notre accent. malgré vous, vous écrivez en un style mâle ». les frondeuses n'auraient pas démenti qu'elles imitaient les différentes formes de journalisme et leurs figures de rhétorique. marguerite durand, par exemple, était fière du surnom « le temps en jupons » donné au journal. les frondeuses faisaient appel à la longue histoire du journalisme féministe en france. d'après les historiens, depuis le dix-huitième siècle, les femmes journalistes en france s'étaient servies de la presse pour « aller à l'encontre des attitudes misogynes » et « transformer l'image de la femme dans toutes les couches de la société ». deuxièmement, une telle tradition aurait eu particulièrement de l'attrait pour les frondeuses dans les années 1890, où un grand débat s'engageait en france sur la nature de l'identité de la femme. pour de nombreux contemporains, les nouvelles opportunités éducationnelles et professionnelles ainsi que le mouvement féministe naissant menaçaient de bouleverser les rapports conventionnels entre les sexes. bien que les domaines discursifs où s'engageait cette bataille fussent complexes et hétérogènes, la presse parisienne y jouait un rôle crucial, avec d'intenses discussions sur « la femme nouvelle ». les femmes enseignantes, journalistes, médecins, avocates, scientifiques et féministes étaient représentées en hommasses qui méprisaient le mariage et les enfants pour poursuivre une carrière. puisque les frondeuses poursuivaient des professions conventionnellement masculines, et puisque la fronde faisait partie intégrale de la presse, elle devenait le centre de la lutte concernant le rôle des sexes en france fin de siècle. enfin, l'œuvre des critiques féministes des dix dernières années met l'emphase, comme le souligne nancy miller, sur « le rapport irréductiblement compliqué que les femmes eurent historiquement avec le langage de la culture dominante ». d'après ces critiques, des actes complexes d'appropriation et de révision permirent aux femmes écrivains de faire face aux systèmes dominants de représentation (comme le journalisme), et à leur idéologie sexuée.

Russian

Фармацевт

Last Update: 2013-10-23
Usage Frequency: 1
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Reference: Anonymous

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