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rebola | doc colli di rimini | v.q.p.r.d.

aurelio losoa, florencio sicoro y anastasio copobone habrían sido detenidos en rebola.
aurelio losoa, florencio sicoro et anastasio copobone auraient été arrêtés à rebola.

no obstante, se verificaron malos tratos infligidos a dos personas detenidas en la isla de bioko, en la localidad de rebola, quienes fueron golpeadas al momento de su detención.
il a néanmoins constaté que des mauvais traitements avaient été infligés à deux personnes détenues sur l'île de bioko, dans la localité de rebola, qui avaient été frappées au moment de leur arrestation.

no obstante el relator especial pudo verificar que en las localidades de rebola y basacato en la isla de bioko, las barreras en la carretera persisten, aun cuando se colocan después de las 18.00 horas.
néanmoins, le rapporteur spécial a pu vérifier que dans les localités de rebola et de basacato, dans l'île de bioko, les barrages routiers étaient maintenus, même s'ils n'étaient mis en place qu'après 18 heures.

a este fin se señalan como medidas urgentes: la liberación del ciudadano wueja chicampo, acusado de pertenecer al "movimiento de autodeterminación de la isla de bioko (maib) " y detenido desde el 1º de mayo de 1994; la liberación de las seis personas que se encuentran en la cárcel de malabo por los sucesos de rebola del 17 de abril de 1994, y de las dos personas que se encuentran también en prisión por los hechos ocurridos en basacato el 16 de marzo de 1994 (jerónimo rambé epitie y luis tojaka lopeo); y asimismo, el desistimiento de enjuiciamiento de civiles ante la justicia militar por aquellos sucesos;
a cette fin, les mesures urgentes ci-après sont recommandées : libération du citoyen wueja chicampo, accusé d'appartenir au mouvement pour l'autodétermination de l'île de bioko (maib) et détenu depuis le 1er mai 1994; libération des six personnes qui se trouvent emprisonnées à malabo à la suite des événements survenus à rebola le 17 avril 1994 ainsi que des deux personnes qui se trouvent également emprisonnées à la suite des événements survenus à basacato le 16 mars 1994 (jéronimo rambé epitie et luis tojaka lopeo); et enfin, suspension des poursuites à l'encontre de civils devant la juridiction militaire pour ces événements;