Şunu aradınız:: on est jamais trop aidé (Fransızca - Latince)

ce n'est jamais trop tard
nunquam sero

rien n'est jamais acquis
nihil unquam acquiritur

n'est jamais assez prévu
nunquam est satis cautum

la victoire n'est jamais facile
victoria non est facile

où ce verrès n'est jamais allé,
quo iste nunquam accessit,

on est tous une famille
domus omnibus una

se montrer tel qu'on est
indicare se

on est ce qu'on mange.
sumus quod edimus.

déshonneur dont on s'est couvert
admissum dedecus

, est jamais sans un oiseau de proie sur sa généreuse poitrine
qualiter in scythia religatus rupe

là, y(lieu on l'on est)
ibi

la ou on est bien, la est ta patrie.
ubi bene ibi patria

on s'est égaré de la ligne droite
recto deerratum est

nous sommes dans le sol. quand on est étudiants
in hudo sumus. cum discupulis sumus

elle tient de la main droite de lumineuses flèches; elle n'est jamais sans flèches.
dextera claras sagistas tenet, nunquam sine sagitta est

on est porté à commettre une injustice pour s'emparer de ce que l'on convoite
ad injuriam faciendam aggrediuntur, ut adipiscantur ea quae concupiverunt

c'est quand on a tout perdu qu'on est libre de faire ce que l'on veut
in latinum cibum

par le fruit de la bouche on est rassasié de biens, et chacun reçoit selon l`oeuvre de ses mains.
de fructu oris sui unusquisque replebitur bonis et iuxta opera manuum suarum retribuetur e

il a accompli les paroles qu`il avait prononcées contre nous et contre nos chefs qui nous ont gouvernés, il a fait venir sur nous une grande calamité, et il n`en est jamais arrivé sous le ciel entier une semblable à celle qui est arrivée à jérusalem.
et statuit sermones suos quos locutus est super nos et super principes nostros qui iudicaverunt nos ut superducerent in nos malum magnum quale numquam fuit sub omni caelo secundum quod factum est in hierusale

ce qui fait plaisir (quam juvat) est d'entendre (audire) les vents furieux (immites ventos), étant couché (cubantem) = quel plaisir, quand on est couché, d'entendre les vents furieux (édition de marc ponchont)
quam juvat immites ventos audire cubantem