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- du manque à gagner (lucrum cessans [19]) (article 6:96 code civil);
the haviltex formula - from the name of the defendant at the supreme court - has been taken up on several subsequent occasions by case law [8] and is still topical.
pour reprendre les termes latins classiques, rrtidernnrté englobe donc le "damnum emergens" et le "lucrum cessans".
to use the latin terms, damages cover both damnum emergens and lucro cesans.
l'indemnisation préjudice patrimonial et moral; pertes directes et indirectes comprendra non seulement le préjudice subi, mais également le lucrum cessans résultant du dommage effectif.
the award of damages (financial and moral loss, and direct and indirect losses) must comprise not only actual losses but also earnings lost as a result ofthe injury.
b) l'indemnisation du préjudice matériel infligé qui se décompose en "lucrum cessans " et "damnum emergens ".
(b) compensation for material damage caused, including luerum cessans and damnum emergens.
b) l’indemnisation du préjudice matériel subi, qui se décompose en "lucrum cessans " et "damnum emergens ".
(b) compensation for material damage caused, including lucrum cessans and damnum emergens.
en l'espèce, la requête évoque les différentes catégories des préjudices subis par les éleveurs de viande bovine, à savoir, premièrement, le damnum emergens lié à une vente des animaux vivants au-dessous du prix de revient, à un prix de vente qui, selon les requérants, serait inférieur à 40 % de ce que les éleveurs attendaient, deuxièmement, le damnum emergens lié aux coûts d'entretien des animaux invendus à la fin du cycle d'engraissement, troisièmement, le lucrum cessans lié aux ventes d'animaux manquées pour l'année en cours et, quatrièmement, le lucrum cessans lié à l'effondrement persistant de la consommation de viande bovine dans les prochaines années.
in the present case, the application states the various categories of damage suffered by the beef farmers, namely, first, actual damage resulting from sales of live animals for less than their production cost, at a price which the applicants claim to be 40% lower than that which the farmers expected to obtain; second, actual damage arising from the cost of keeping animals which remain unsold at the end of their fattening cycle; third, loss of the profits which they would otherwise have made on the sale of animals during the current year; and fourth, loss of income resulting from the persistent decline in beef consumption in the years to come.