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vor allem übersieht der an satz, mit welcher wucht ökonomische realitäten politische fehlkonstruktionen zerschmettern können.
dans le monde d'aujourd'hui, les pays industrialisés ne peuvent pas ne pas tenir compte de la voix politique des autres. la mon dialisation est irréversible.
der erste sturm oder nur eine etwas durch die seewinde hoch getriebene see mußte ihn weiter auf den sand werfen, zerschmettern und zerstückeln.
la prochaine tempête, ou seulement une mer un peu forte, soulevée par les vents du large, le roulerait sur les sables, le briserait, le dépècerait, en disperserait les débris.
er wird richten unter den heiden; er wird ein großes schlagen unter ihnen tun; er wird zerschmettern das haupt über große lande.
il exerce la justice parmi les nations: tout est plein de cadavres; il brise des têtes sur toute l`étendue du pays.
darum siehe, spricht der herr, es kommt die zeit, daß ich ihnen will schröter schicken, die sie ausschroten sollen und ihre fässer ausleeren und ihre krüge zerschmettern.
c`est pourquoi voici, les jours viennent, dit l`Éternel, où je lui enverrai des gens qui le transvaseront; ils videront ses vases, et feront sauter ses outres.
gott hat ihn aus Ägypten geführt; seine freudigkeit ist wie eines einhorns. er wird die heiden, seine verfolger, fressen und ihre gebeine zermalmen und mit seinen pfeilen zerschmettern.
dieu l`a fait sortir d`Égypte, il est pour lui comme la vigueur du buffle. il dévore les nations qui s`élèvent contre lui, il brise leurs os, et les abat de ses flèches.
ich sehe ihn, aber nicht jetzt; ich schaue ihn aber nicht von nahe. es wird ein stern aus jakob aufgehen und ein zepter aus israel aufkommen und wird zerschmettern die fürsten der moabiter und verstören alle kinder des getümmels.
je le vois, mais non maintenant, je le contemple, mais non de près. un astre sort de jacob, un sceptre s`élève d`israël. il perce les flancs de moab, et il abat tous les enfants de seth.
bisweilen hielt er in einer öden dorfstraße rast; und seine gedanken wurden so unerträglich, daß er mit beiden händen nach seinem kopfe faßte und versuchte, ihn von seinen schultern zu reißen, um ihn auf dem pflaster zu zerschmettern.
quelquefois il s’arrêtait dans une rue de village déserte, et ses pensées étaient si insupportables qu’il prenait sa tête à deux mains et tâchait de l’arracher de ses épaules pour la briser sur le pavé.
ach, ich will mich auf der erde wälzen, ich will den stein mit meiner stirn zerschmettern, will mich verdammen und will dich verfluchen, herr! wenn du mir mein kind vorenthältst! du siehst ja, daß ich ganz zerfleischte hände habe, herr! hat denn der liebe gott kein erbarmen? ... ach, gieb mir nur salz und schwarzes brot, im falle ich meine tochter bekomme, und ich mich an ihr, wie an einer sonne, erwärmen kann! ach! gott mein herr, ich bin nur eine gemeine sünderin, aber meine tochter machte mich fromm und gut. ich war voll frömmigkeit aus liebe zu ihr; und durch ihr lächeln, mein gott, blickte ich zu dir, wie durch eine oeffnung des himmels ... ach! könnte ich nur einmal, noch einmal, ein einziges mal diesen schuh an ihr reizendes, rosiges füßchen stecken, und ich will sterben, süße jungfrau und dich segnen! ... ach! fünfzehn jahre! sie würde jetzt groß sein! ... unglückliches kind! wie? es ist also doch wahr: ich soll sie nicht mehr wiedersehen, nicht einmal im himmel! denn, ich werde nicht dahin kommen, ich. o welches elend! zu sagen, daß das ihr schuh ist, und sonst nichts weiter!«
– oh ! je me tordrai sur la terre, et je briserai la pierre avec mon front, et je me damnerai, et je vous maudirai, seigneur, si vous me gardez mon enfant ! vous voyez bien que j’ai les bras tout mordus, seigneur ! est-ce que le bon dieu n’a pas de pitié ? – oh ! ne me donnez que du sel et du pain noir, pourvu que j’aie ma fille et qu’elle me réchauffe comme un soleil ! hélas ! dieu mon seigneur, je ne suis qu’une vile pécheresse ; mais ma fille me rendait pieuse. j’étais pleine de religion pour l’amour d’elle ; et je vous voyais à travers son sourire comme par une ouverture du ciel. – oh ! que je puisse seulement une fois, encore une fois, une seule fois, chausser ce soulier à son joli petit pied rose, et je meurs, bonne vierge, en vous bénissant ! – ah ! quinze ans ! elle serait grande maintenant ! – malheureuse enfant ! quoi ! c’est donc bien vrai, je ne la reverrai plus, pas même dans le ciel ! car, moi, je n’irai pas. oh quelle misère ! dire que voilà son soulier, et que c’est tout ! »