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fosfolipidosi
phospholipidose

temsirolimus è stato associato a fosfolipidosi nei ratti.
le temsirolimus a été associé à des phospholipidoses chez le rat.

non è nota l’importanza della fosfolipidosi nell’uomo.
l’importance de la phospholipidose chez l’homme est inconnue.

agenti anfifilici temsirolimus è stato associato a fosfolipidosi nei ratti.
agents amphiphiles le temsirolimus a été associé à des phospholipidoses chez le rat.

evidenze ultrastrutturali suggeriscono che queste alterazioni retiniche possano essere secondarie a fosfolipidosi.
l'analyse ultrastructurale suggère que ces altérations rétiniennes seraient secondaires à une phospholipidose.

nei roditori è stata osservata fosfolipidosi nei macrofagi polmonari causata da accumulo di memantina nei lisosomi.
une phospholipidose dans les macrophages pulmonaires causée par l'accumulation de mémantine dans les lysosomes a été observée chez les rongeurs.

come atteso con amine lipofile, inclusi gli antidepressivi triciclici, è stata rilevata nei ratti una fosfolipidosi.
comme cela est attendu avec les amines lipophiles (incluant les antidépresseurs tricycliques), une phospholipidose a été observée chez le rat.

la fosfolipidosi non è stata osservata nei topi e nelle scimmie trattate con temsirolimus, né è stata documentata nei pazienti trattati con temsirolimus.
il n’a pas été décrit de phospholipidoses chez les souris ou les singes traités par le temsirolimus, ni chez les patients traités par le temsirolimus.

fosfolipidosi (macrofagi schiumosi) è stata osservata con netupitant, dopo la somministrazione ripetuta nei ratti e nei cani.
une phospholipidose (macrophages spumeux) a été observée après administrations répétées de nétupitant chez le rat et le chien.

fosfolipidosi neuronale si è verificata in cani trattati per  3 mesi a livelli di esposizione sistemica più bassi di quelli ottenuti a dosi terapeutiche nell’uomo.
la phospholipidose neuronale est survenue chez les chiens traités pour une durée ≥ 3 mois avec des expositions systémiques inférieures à celles obtenues aux doses thérapeutiques chez l’homme.

fosfolipidosi neuronale si è verificata in cani trattati per ≥3 mesi a livelli di esposizione sistemica più bassi rispetto a quelli ottenuti a dosi terapeutiche nell’uomo.
la phospholipidose neuronale est survenue chez les chiens traités pour une durée ≥ 3 mois avec des expositions systémiques inférieures à celles obtenues aux doses thérapeutiques chez l’homme.

fosfolipidosi non è stata osservata negli studi sui primati, della durata fino ad un anno, a dosi sei volte più elevate di quelle dell’ intervallo raccomandato di dosaggi clinici.
aucune phospholipidose n’ a été décrite chez les primates lors d’ études ayant duré jusqu’ à un an, à des doses 6 fois supérieures aux doses thérapeutiques recommandées.

i risultati di sicurezza non clinici più importanti dopo somministrazioni ripetute sono stati l’infiltrazione di macrofagi con materiale granulare basofilo intracitoplasmatico, compatibile con fosfolipidosi e lesioni degenerative in numerosi organi e tessuti.
les observations les plus importantes dans les études de toxicologie en administration répétée chez l’animal ont été une infiltration des macrophages par des matières granulaires basophiles intracytoplasmiques compatible avec une phospholipidose et des lésions dégénératives dans de nombreux organes et tissus.

negli studi di tossicità cronica, è stata osservata fosfolipidosi reversibile e di lieve entità (accumulo di macrofagi schiumosi) a livello dei linfonodi mesenterici, principalmente nel ratto.
dans les études de toxicité chronique, une phospholipidose légère et réversible (accumulation de macrophages spumeux) a été observée dans des ganglions mésentériques principalement chez le rat.

le reazioni avverse non osservate negli studi clinici, ma riscontrate in animali a livelli di esposizione simili a quelli clinici e che possono avere rilevanza nell’ utilizzo clinico, sono state le seguenti: vacuolizzazione delle cellule pancreatiche insulari, degenerazione dei tubuli testicolari, ulcerazione gastrointestinale, fratture ossee e callosità, ematopoiesi epatica e fosfolipidosi polmonare.
les effets indésirables suivants, observés chez l’ animal à des expositions semblables à celles de l’ homme mais non rapportés au cours des essais cliniques, pourraient avoir une signification clinique: vacuolisation des cellules des îlots pancréatiques, dégénérescence tubulaire testiculaire, ulcération gastro-intestinale, fractures osseuses et callosités, hématopoièse hépatique et phospholipidose 49 pulmonaire.