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sentencia andreas hoves [6]
arrêt andreas hoves [6]

quince camiones estaban matriculados en luxemburgo a nombre de la sociedad hoves.
quinze camions étaient immatriculés au nom de la société hoves au luxembourg.

la sociedad hoves era objeto de controles regulares y sujeto pasivo del impuesto.
de même, contraindre un transporteur à payer une taxe sur les véhicules automoteurs dans l'État membre d'accueil, alors qu'il a déjà payé

tras ejecutar las órdenes de transporte liquidaba a la sociedad hoves mediante abono en cuenta.
après l'exécution des ordres de transport, les comptes étaient réglés avec la société hoves par voie d'inscription à son crédit.

desde el 13 de septiembre de 1993, el sr. hoves es socio único de dicha sociedad.
depuis le 13 septembre 1993, m. hoves est l'associé unique de cette société.

pronunciándose al mismo tiempo sobre ambas cuestiones, la sociedad hoves propone que se les dé una respuesta afirmativa.
s'exprimant sur les deux questions en même temps, la société hoves propose de répondre par l'affirmative à celles-ci.

la sociedad hoves no niega que nunca dispuso en luxemburgo de un taller propio ni de plazas de estacionamiento para los vehículos pesados.
la société hoves ne conteste pas qu'elle n'a jamais eu au luxembourg un atelier propre ni des places de stationnement pour les poids lourds.

según la sociedad hoves, el centro de operaciones debe definirse en función de criterios objetivos. destaca a este respecto que:
— les poids lourds étaient assurés au luxembourg, les chauffeurs étaient enregistrés et assurés dans cet État membre;

resulta de la resolución de remisión que la sociedad hoves, constituida en luxemburgo mediante escritura de 6 de junio de 1989, es una sociedad luxemburguesa con domicilio social en el gran ducado de luxemburgo.
il ressort de l'ordonnance de renvoi que la société hoves, constituée au luxembourg par acte du 6 juin 1989, est une société de droit luxembourgeois établie au grand-duché de luxembourg.

[6] sentencia de 2 de julio de 2002, andreas hoves internationaler transport service sarl, c-115/00.
[6] arrêt du 2 juillet 2002, andreas hoves internationaler transport service sarl, c-115/00.

asimismo, el finanzamt borken calculó las bases imponibles para la liquidación del impuesto correspondiente a los vehículos matriculados a nombre de la sociedad hoves, determinando la cuota del impuesto sobre vehículos de tracción mecánica para los períodos comprendidos entre 1991 y 1996.
dans le cadre d'un litige fiscal relatif aux années 1993 et 1994, distinct du présent litige au principal et pendant devant le finanzgericht köln (allemagne), le bundesamt für finanzen a demandé aux autorités luxembourgeoises leur assistance juridique et administrative afin de déterminer le lieu de la direction de la société hoves.

consideraron que la sede de la dirección de la sociedad hoves se encontraba en rhede y evaluaron las bases imponibles a efectos del impuesto sobre sociedades y del impuesto sobre el volumen de negocios correspondientes a los ejercicios comprendidos entre 1989 y 1995, del impuesto sobre el patrimonio correspondiente a 1992 y del impuesto sobre los salarios correspondiente a los ejercicios comprendidos entre 1989 y 1994.
elles ont retenu que le lieu de la direction de la société hoves se situait à rhede et elles ont dès lors évalué les bases d'imposition aux fins de l'impôt sur les sociétés et de la taxe sur le chiffre d'affaires pour les années 1989 à 1995, de l'impôt sur la fortune pour l'année 1992 ainsi que de l'impôt sur les salaires pour les années 1989 à 1994.

por lo que se refiere al objetivo que trata de impedir la evasión fiscal y excluir los abusos, el órgano jurisdiccional nacional recuerda que la sociedad hoves se limitó a aprovechar las posibilidades legales existentes dentro de la comunidad europea, aun cuando ello fuera asociado al objetivo de ahorrar impuestos pagando el impuesto sobre vehículos de tracción mecánica en un estado miembro con un régimen fiscal más favorable.
s'agissant de l'objectif visant à empêcher l'évasion fiscale et à exclure les abus, la juridiction nationale rappelle que la société hoves ne faisait qu'utiliser les possibilités légales existant à l'intérieur de la communauté européenne, même si c'était dans le but de réaliser une économie d'impôts en payant la taxe sur les véhicules automoteurs dans un État membre ayant un régime fiscal avantageux.

hov
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