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• vous insulter
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si ce n’est les insulter et les rejeter.
si ce n’est les insulter et les rejeter.

zlatan : insulter la france c'est grave !
zlatan : insulter la france c'est grave !

lo! it is thy insulter (and not thou) who is without posterity.
celui qui te hait sera certes, sans postérité.

it never makes me think less of the insulter, so it's your duty to respond.
c'est pourquoi il est important de savoir autant que possible à qui vous vous adressez.

ce n'est pas parce que votre plan a des chances de réussir, qu'il faut insulter notre intelligence.
ce n'est pas parce que votre plan a des chances de réussir, qu'il faut insulter notre intelligence.

not knowing they were participating in a study, the men were insulted or not insulted as they took part in a carnival game in which they were to throw wet sponges at the insulter.
alors qu'ils ne savaient pas qu'ils participaient à une étude, ces hommes se faisaient insulter ou non, pendant qu'ils prenaient part à un jeu du carnaval au cours duquel ils devaient jeter une éponge mouillée à la personne qui les avait insultés.

father ghika listened to him tranquilly and, when his insulter had finished, placed his hand in a friendly gesture on the anarchist's shoulder.
le prêtre l'écoute tranquillement et, quand son insulteur se tait, lui met amicalement la main sur l'épaule.

« sale animal, cria-t-il en le menaçant de sa canne, je t’apprendrai a insulter une honnete fille. »
'you hound,' he cried, shaking his stick at him; 'i'll teach you to insult an honest girl!'

this is especially so for "political " offences while decrees such as decree no. 840 of 4 november 1986 continue to make critics and insulters of the president, the ba'ath party and institutions of government subject to the death penalty, and so long as ba'ath party members are granted impunity for any harm done to property or persons (including death) while pursuing opponents of the government.
il en va particulièrement ainsi des délits "politiques " : en vertu de décrets comme le décret no 840 du 4 novembre 1986, les personnes qui critiquent ou insultent le président, le parti ba'ath et les autorités gouvernementales se rendent passibles de la peine capitale et les membres du parti ba'ath se voient accorder l'impunité pour tout préjudice causé aux biens ou aux personnes (y compris la mort), alors que les opposants au gouvernement sont poursuivis.