Şunu aradınız:: la femme de ma vie (Fransızca - Bretonca)

la femme d'elliant
plac'h eliant

vielle femme de rennes
maouez kozh eus roazhon

« la radio occupe complètement ma vie.
« ar radio a leugn ma buhez penn-da-benn.

capitaine de mon âme et pilote de ma vie
tu baises?

portrait de ma nourrice
poltred ma magerez

- la femme debout à sa droite est la déesse de la santé :
- ar vaouez war-sav, a-zehou dezhañ, eo doueez ar yec'hed :

au centre, la femme opulente et vulgaire est une allégorie de la république.
ar vandrogenn astudik, e-kreiz, a zo ur skeudennadur eus ar republik.

fière et droite, la femme habituée au labeur porta une jarre tout en tenant la main de son enfant.
ar vaouez faro ha sonn, boas ouzh al labour, ur jarlad dour ganti, a gas he bugel dre an dorn.

la sculpture trouve aussi dans le modèle de la femme âgée un exercice privilégié.
ar gizellerien ivez a blij dezho taolenniñ merc'hed kozh.

message de réponse automatique aux personnes de ma société
kemennad respont emgefreek da dud ma aozadur

le costume de la femme d'elliant est une variante de celui de fouesnant appelé « giz fouen ».
gwiskamant plac'h eliant zo un adstumm eus hini fouenant a vez graet « giz fouen » anezhañ.

les motifs de la bigoudène ne sont pas floraux comme ceux de la femme d'elliant.
n'eus ket tresoù bleuñv war ar gwiskamant bigoudenn evel war hini plac'h eliant.

enora eo m a\1 va est une forme dialectale de ma
enora eo m a\1 va est une forme dialectale de ma

le thème, récurrent dans l'histoire de la sculpture, est celui de la femme sortant du bain.
nicot, tro-ha-tro akademiek ha modern

le costume de la femme d'elliant et de la femme du pays bigouden viennent tous deux du finistère, leurs motifs se ressemblent-ils ?
gwiskamant plac'h eliant ha gwiskamant plac'h ar vro vigoudenn zo o-daou eus penn-ar-bed. daoust hag heñvel eo o zresoù ?

avec une grande économie de moyens, l'artiste parvient à une esthétique décorative mais énergique, célébrant l'idéal 1900 de la femme de petite taille.
maouezed beaufrère

dans les derniers tableaux (« la femme du peintre », 1945), il revient à des formes pleines et synthétiques.
d'an hañv e tistro da livañ a-hed aodoù breizh hag e kinkl predva al leti kermor e benoded.

cette jeune femme de condition modeste, une paysanne sans doute, offre, avec ce petit sourire en coin, la pudeur et la gaîté de sa jeunesse.
barzhonius-tre eo dremm ar bugel yaouank-se, warni merkoù ar c'huñvder hag ar parfetiz.