Hai cercato la traduzione di du potier da Francese a Spagnolo

je descendis dans la maison du potier, et voici, il travaillait sur un tour.
descendí a la casa del alfarero, y he aquí que él estaba trabajando sobre la rueda

et il les ont données pour le champ du potier, comme le seigneur me l`avait ordonné.
y las dieron para el campo del alfarero, como me ordenó el señor

lève-toi, et descends dans la maison du potier; là, je te ferai entendre mes paroles.
"levántate y desciende a la casa del alfarero. allí te haré oír mis palabras.

et, après en avoir délibéré, ils achetèrent avec cet argent le champ du potier, pour la sépulture des étrangers.
y habiendo tomado acuerdo, compraron con ellas el campo del alfarero, para sepultura de los extranjeros

les nobles fils de sion, estimés à l`égal de l`or pur, sont regardés, hélas! comme des vases de terre, ouvrage des mains du potier!
los apreciados hijos de sion, que eran estimados en oro fino, ¡cómo son tenidos ahora como vasijas de barro, obra de manos de alfarero

le vase qu`il faisait ne réussit pas, comme il arrive à l`argile dans la main du potier; il en refit un autre vase, tel qu`il trouva bon de le faire.
y el vaso de barro que hacía se dañó en la mano del alfarero, pero el alfarero volvió a hacer otro vaso según le pareció mejor

mais aussitôt je coupais court à ces pensées et les réprimais par cette conclusion: que nous ignorons selon quelle lumière et quelle loi seront condamnées ces créatures; que dieu étant par son essence infiniment saint et équitable, si elles étaient sentenciées, ce ne pourrait être pour ne l'avoir point connu, mais pour avoir péché contre cette lumière qui, comme dit l'Écriture, était une loi pour elles, et par des préceptes que leur propre conscience aurait reconnus être justes, bien que le principe n'en fût point manifeste pour nous; qu'enfin nous sommes touts _comme l'argile entre les mains du potier, à qui nul vase n'a droit de dire: pourquoi m'as tu fait ainsi?_
entonces, me detuve a pensar un poco mejor las cosas y llegué a las siguientes conclusiones: 1) que no sabíamos según qué luz ni ley serían condenadas estas criaturas, puesto que dios, en su infinita santidad y justicia, no podía condenarlas por vivir ajenos a su presencia, sino por pecar contra aquella luz que, como dicen las escrituras, es ley para todos y, por aquellos preceptos que nuestra conciencia considera justos, aunque no podamos reconocer sus fundamentos; 2) que todos somos como la arcilla en manos del alfarero y ninguna vasija podía preguntarle: «¿por qué me has hecho así?».