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mulder, taimi seismologist 363-6500 tmulder
mulder, taimi sismologue 363-6500 tmulder

"taimi 'o tonga" newspaper still banned despite supreme court ruling
le journal "taimi 'o tonga" toujours interdit d'importation malgré le verdict de la cour suprême

"taimi 'o tonga" newspaper still banned despite supreme court ruling - ifex
le journal "taimi 'o tonga" toujours interdit d'importation malgré le verdict de la cour suprême - ifex

tonga 18 february 2004 "taimi 'o tonga" newspaper still banned despite supreme court ruling
le journal "taimi 'o tonga" toujours interdit d'importation malgré le verdict de la cour suprême

seismologists john cassidy (front), honn kao and taimi mulder discuss the source mechanisms of recent earthquakes.
les sismologues john cassidy (à l'avant), honn kao et taimi mulder discutent des mécanismes d'origine des récents séismes.

the amendments will allow the authorities to ban distribution of other foreign publications as well as "taimi o' tonga".
outre le "taimi o' tonga", cette révision constitutionnelle remet en cause la possibilité de diffuser d'autres publications étrangères dans l'île.

the amendments signed by the king on 5 december serve to retroactively validate a february ban on "taimi o' tonga", which the supreme court had ruled unconstitutional in may.
cette révision rend valide a posteriori l'interdiction de distribution dans le pays du "taimi o' tonga" (publié en nouvelle-zélande). cette interdiction, prononcée en février, avait été jugée inconstitutionnelle par la cour suprême en mai dernier.

it was further reported that, between the beginning of 2004 and 18 february 2004 when the communication was sent, no newspaper had appeared on newsstands, reportedly because of warnings of severe penalties for unlicensed publishers, booksellers and importers, along with alleged police raids on shops, in particular to confiscate copies of the taimi o'tonga newspaper.
en outre, entre le début de l'année 2004 et le 18 février 2004, date à laquelle la communication a été envoyée, aucun journal n'aurait été disponible en kiosque puisque des menaces de sanctions sévères auraient été proférées à l'encontre des éditeurs, des libraires et des importateurs contrevenants, et la police aurait opéré des descentes afin de confisquer des exemplaires du journal taimi o'tonga.